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BIOGRAPHIE
 

Né en 1977, Rodolphe Barsikian a grandi à Sarcelles, dans un milieu cosmopolite.

Sa passion pour le dessin ne naît pas du hasard. Enfant, il passait des journées entières, dans l’atelier de confection textile de son grand-père maternel. Celui-ci lui transmet une partie de son héritage culturel arménien. 

Rodolphe Barsikian étudie le graphisme à Paris et suit l’enseignement artistique de l’Institut Supérieur des Arts Appliqués (LISAA), après des études à l’Ecole Professionnelle Supérieure d’Arts Graphiques (EPSAA).

C’est là qu’il rencontre des professionnels du graphisme peu académiques mais reconnus pour la plupart : l’artiste Stéphane Calais et Rocco illustrateur à Libération. Et surtout Maria Arnold, peintre suisse devenue graphiste et connue pour avoir animé le collectif militant GRAPUS, des graphistes actifs en banlieue parisienne dans la foulée de Mai 68, qui influencera profondément son itinéraire artistique.

Un temps styliste dans le domaine vestimentaire puis graphiste professionnel, Rodolphe Barsikian se partage bientôt entre vie active et création personnelle. Il invente peu à peu son propre style. Ses compositions sur ordinateur, dessinées en « vectoriel », se nourrissent de schémas spécifiques, que l’artiste tisse entre eux, en les reliant par un fil émotionnel.

Il a fait le choix d’utiliser le numérique, dans une volonté de dématérialiser la matière graphique, thème central et esthétique de son oeuvre. Si son écran d’ordinateur a supplanté la toile du peintre, c’est à la main qu’il crée sur cet outil toutes les formes, tous les tracés qui orientent ses créations.

Il a participé à plusieurs expositions collectives, avec ses « Obsessions Vectorielles » avant de présenter pour la première fois une rétrospective de ses oeuvres en novembre 2020 à Paris.

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